Le gouffre d’enfer, sensations et paysages format XXL

Prenez une journée ensoleillé, un groupe d’Escapilade renforcé par quelques invités qui parcourent toutes (ou presque toutes) les facettes du nouveau pôle d’activités verticales, agrémentez le tout de quelques sympathiques couleurs d’automne, des paysages typiques de notre Pilat et vous obtenez un cocktail d’activités et de lumières qui permettent de profiter du site du gouffre d’enfer et du tout nouveau pôle d’activités verticales.

Un grand merci à tous les participants, à la communauté de commune des monts du Pilat qui a cru dans ce projet et qui a financé les investissements, au CDFFME 42 qui a porté le projet pendant plus de 5 années et qui a financé sur fond propre le parcours montagne enfant situé sur le rocher de Roche Corbière.

Il faut rappeler que les activités du pôle vertical impose un matériel spécifique adapté à l’équipement en place sur les différents parcours. Un grand merci à la société Béal qui nous fourni des cordes pour l’assurance des cordées dans les deux parcours montagnes au CDFFME 42 qui nous prêté des longes de via ferrata, des poulies Speed pour la tyrolienne, des casques au magasin Expé qui nous a prêté 23 équipements complets, baudrier, longes, poulies, casques.

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Suite à une période de pluie cévenoles, notre sortie à Chamalières a pu miraculeusement se dérouler, la fenêtre météo a été très courte mais suffisante, bilan le rocher de Chamalières a été réservé durant cette journée à la dizaine de membre d’ESCAPILADE qui ne s’étaient pas laissés impressionner par les mauvaises prévisions météo.

Comme quoi, il faut parfois forcer la chance dans nos sports de plein air !

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Nous étions 19 participants ce samedi 4 octobre 2014 à nous retrouver sur le parcours montagne adulte du Gouffre d’Enfer. Nos quatre cordées forment une longue chenille colorée sur le rocher sombre. Certains parmi notre groupe ne connaissent pas cette forme de progression à corde tendue que l’on adopte parfois en montagne, lorsque le terrain s’y prête et pour gagner du temps.

Ici, cette dernière raison n’est pas d’actualité. Au contraire on prend le temps d’admirer le ravin du Gouffre d’Enfer que plusieurs d’entre nous découvrent sous un point de vue différent. On prend également le temps de conseiller son voisin de cordée, lui indiquant la prise qui permet de passer sereinement lorsque le pas d’escalade est délicat. C’est ça l’esprit de cordée, un esprit de camaraderie, d’entraide, de connivence. Et ceux qui connaissent déjà le parcours montagne sont heureux de le faire découvrir à ceux qui ne le connaissent pas, qui leur tour éprouvent de la joie à le découvrir.

En conclusion, nous avons vécu un bel après-midi qui n’aurait pu être complet sans la complicité d’un soleil bienveillant dans la lumière dorée d’un automne qui s’annonce.

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Week-end en Ardèche : Mission accomplie :

Forêts de châtaigniers, baignades, falaises ensoleillées, pizzas aux Vans, parcours explo, découverte de lieux magiques…

Une visite éclair pour profiter de la douceur de l’Ardèche et garder un petit brin de soleil avant les frimas de l’automne !

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Qu’on se le dise ! Huit jours avec Escapilade à la Roche de Rame sont bien plus drôles et marrants que huit jours, tout seul à ramer à la roche (ça y’est, j’ai pu placer mon jeu de mots vaseux).

Nous étions une trentaine de participants, hommes, femmes et enfants, une véritable tribu, à nous retrouver au camping du Verger du 16 au 23 août 2014. Comme pour les lecteurs de Tintin, l’écart d’âge variait de 7 à 77 ans -plus exactement de 5 à 74 ans- !

Si notre moral s’est maintenu au beau fixe, la météo fut à l’image de cet été, capricieuse, incertaine, avec la différence notable que nous étions dans le Briançonnais, où il est coutume de dire qu’il ne se passe pas un jour sans soleil.

Et de fait, nos journées furent bien remplies en escalades, randonnées, canyons et autres activités, comme le vélo électrique que la famille Billy testa sur un circuit dans les alentours de Guillestre, sans oublier les sacros-saints aperos des vacances.

Et oui ! Les apéros interminables, où l’on se sent à l’aise, conquérants, le postérieur résolument calé au fond du siège, avec le verbe haut et coloré, palabres sans fin, tout en postillonnant des cacahouètes et des biscuits salés, ces apéros font partie du folklore des vacances.

Dans ce registre : il y eut la soirée traditionnelle de la famille Escapilade, unie autour de nombreuses bouteilles, dans la chaude et conviviale atmosphère du local du camping. Les enfants l’appelèrent la « fête du Président » tant ils étaient subjugués d’être en présence d’un aussi prestigieux personnage, en l’occurence notre bien aimé Michel, entouré d’un aéropage d’admirateurs. La soirée fut belle et animée, et les enfants pour l’occasion offrirent les bracelets multicolores en élastique qu’ils avaient fabriqués.

Mais à lire le compte-rendu de toutes ces agapes, les esprits mal intentionnés pourraient médire et nous traiter de ramassis de poivrots. Il est mal nous connaître ! Nous sommes d’authentiques sportifs, sans vous assommer avec la moisson de nos activités je pourrais néanmoins en citer quelques-unes.

Chacun sait que les alentours de la Roche de Rame sont prodigues en rochers de toutes sortes. On peut y grimper aussi bien sur du calcaire que sur du granit en passant par le poudingue, ce surprenant gruyère fait de trous et de galets enchâssés dont les escarpements constituent le socle de la citadelle de Mont-Dauphin.

C’est ainsi que les uns et les autres ont visité les falaises de Fraissininière, de Brunissard, du Ponteil, du Pïlier de Rame et d’Ailefroide. Couennes sportives et escalades plus aisées de six à huit longueurs furent au programme.

Le mercredi, nous fîmes une grosse collective de grimpeurs et randonneurs au départ du hameau des Combes au-dessus de Briançon. L’endroit est idyllique. Les uns avaient pour but le lac de Partias, les autres, c’est-à-dire huit grimpeurs, le pilier nord-ouest « Voie Meursault-Pilami » à la Roche Jaune au-dessus du Col de la Trancoulette.

Lorsque nous sommes arrivés au bas de la voie, une cordée nous précédait. Nous observâmes patiemment les taches colorées de leurs vêtements posées comme deux papillons en train de butiner le pollen de l’escalade.

Il n’y avait pas d’urgence. Un soleil réjoui se frottait la panse avec satisfaction sur le bleu immaculé du ciel et nous attendions qu’il réchauffe le rocher jusqu’alors dans l’ombre.

Vers le milieu de la voie, de perfides cirrus vinrent troubler la fête en déployant leur voile grise sur le ciel. Eole s’en mêla et nous souffla dessus vigoureusement pour nous inciter à nous grouiller avant que n’arrive la pluie. Elle mit du zèle pour essayer de nous mouiller, mais nous fûmes plus rapides qu’elle car elle ne nous rattrapa qu’à proximité des voitures.

Pendant ce temps, les amateurs de canyons se frottaient au débit important des eaux des torrents. Celles-ci, jouissant d’une santé vigoureuse, s’estimaient à l’étroit dans les gorges, donnaient de la voix et postillonnaient des gerbes d’écume.

Pour l’anecdote et pour compléter le panorama de nos activités, je citerai l’ascension par certains jusqu’au lac de l’Ascension (si, si…. c’est le véritable nom de ce lac).

Ayant commencé ce texte par un mauvais calembour et comme je suis incorrigible je ne pouvais que terminer par un autre.

Alors si le cœur vous en dit, et si le compte-rendu de ce séjour vous a plu, s’il vous a intrigué, séduit et que sais-je encore, n’hésitez pas, venez nous rejoindre l’année prochaine, vous ne serez pas déçus.

Hein, Tintin, comme diraient Patrick et Vincent.

A bientôt donc.

Jean CARTON

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Le samedi 31 mai nous étions environ 35 participants à cette dernière collective d’escalade dont le but était d’initier au rocher.

Allez ! Je rigole sur tout ce nombre une dizaine seulement essayaient de se familiariser à l’escalade sur un site naturel. Ils avaient commencé leur apprentissage durant les deux samedis précédents à Roche Corbière.

Le reste du groupe était venu, parce qu’il faisait beau d’abord, ensuite pour le rocher de Costaros à Chamalières-sur-Loire et enfin pour vivre une bonne journée conviviale

35 personnes, ça fait du monde, et cependant tous ont grimpé leur saoul et cela malgré la présence du faucon pèlerin qui condamne toute la partie droite du rocher jusqu’au 30 juin.

En fait, cela fut possible, grâce aux nouvelles voies qui ont été équipées, nettoyées au cours de ces deux dernières années et qui permettent d’installer un grand nombre de moulinettes.

Nous avons donc vécu une belle journée, bien remplie et que les photos qui accompagnent ce texte donneront envie à ceux qui ne pouvaient être présents de venir nous rejoindre et aux autres de raviver d’excellents souvenirs.

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Sortie Ski rando Initiation – 02/03/2014 – 848 m de dénivelé (si on a bien étalonné l’altimètre)

Nous partîmes 12 à la conquête (certes modeste, mais tout de même) du Col du Sabot depuis Vaujani. Fraîchement débarqués, sous un air vif et à l’ombre, nous testons les ARVA. Quelqu’un aurait des piles AAA ? Et Pierre est quitte pour un aller-retour jusqu’aux voitures (à 100 m de là, mais tout de même).

L’ascension est très vite accompagnée du soleil et de quelques bourrasques persistantes (pas trop, mais tout de même). Nous progressions tranquillement tout en travaillant les conversions « claquées ». Enfin surtout Martin…

Un peu avant le col, nous croisons Christophe en pleine descente avec un petit goût de « reviens-y » collé aux spatules. Au col, sans collation (pas la peine, Hélène en est déjà à son 3ieme sandwich !), très belle vue sur le lac de Grand Maison et les reliefs alentours. « Ah ! Si Jean était là, il donnerait précisément le nom et intérêt de chaque sommet. »

Nous poursuivons par l’ascension d’un croupion® au nord du col et trouvons sur notre route un abri naturel pour faire le break bien mérité. Jean-Pierre, où est ton casse-croute ? Presque une raquinade®…

Christophe réintègre le groupe et compte dépeauter. C’est sans compter sur Patrice, notre guide 5 Etoiles, qui pousse la sortie toujours plus au nord jusqu’à un querne offrant un chouette vue sur le massif du Mont-Blanc : tout de même.

Descente sous les rayons dardant du soleil : merci Cécile pour la crème. On ne compte plus les tentatives de mesure de la profondeur de neige par immersion partielle. Laurence remporte aisément la note du style : performance immortalisée (mentalement).

La neige quant à elle, est croutée, molle, profonde, vraiment super en fonction des endroits et skieurs. Nous rentrons repus, bronzés et contents, espérant que Gaëlle et Delphine en redemande !

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